
Il voulait faire l’union des droites, façon Ménard, pour battre la gauche installée à Frontignan depuis l’après-guerre. Mais à l’approche du second tour des élections municipales, Gérard Prato se retrouve isolé face à un front républicain toujours en vigueur ici. Le conseiller régional du Rassemblement national devrait se heurter une fois encore, après sa défaite en 2014, au fameux plafond de verre qu’il entendait pourtant briser ce coup-ci. Sur les quatre candidats en capacité de se maintenir, deux se sont désistés - Thibaut Cléret . . .